Société
Les invisibles de chez nous
Boy, nounou, umukozi, umuyaya, … Des noms qui désignent une condition sociale dure, parfois misérable, faite d’incertitudes, légalement non-encadrée. Parce qu’on les nourrit et qu’on les loge, ils ont droit à tout : souvent du mépris, un salaire insignifiant, et toutes nos humeurs, nous autres citadins. Pourtant, c’est à ces jeunes...